Après un bref passage au Dinamo Minsk Tsadjia Dolores a atterri dans la région d’Auvergne en France dans le modeste club d’Yzeure. L’internationale camerounaise s’apprête à disputer ce dimanche à Dijon une finale de coupe de France face au PSG. Parlons Foot 237 est allé à la rencontre de la lionne indomptable pour prendre son pouls avant le défi qui l’attend.
C’est votre première saison à Yzeure Tsadjia Dolores et vous êtes qualifiée pour la première finale de son histoire en coupe de France. Que ressentez-vous ?
Pour ma première saison et cette qualification en finale de coupe de France, je suis juste fière et contente. Les mots ne pourront pas qualifier la joie que j’ai.
Comment comptez-vous aborder cette finale face au PSG annoncé logiquement comme le favori ?
Déjà on ne va pas se mentir c’est une équipe largement au dessus de nous sur le papier. Mais comme le disaient souvent mes encadreurs une finale ça se gagne. Donc on ira jouer avec un état d’esprit de gagne.
Vous êtes dans le même vestiaire que votre compatriote Christine Manie, capitaine et légende vivante du club. A-t-elle facilité votre intégration au sein du groupe ?
C’est une chance déjà de partager le vestiaire avec une légende vivante. Pour mon intégration, elle l’a facilitée. Ce qui fait en sorte que je suis épanouie.
Yzeure Football Allier Auvergne est une structure avec des moyens financiers limités. Qu’est-ce qui a motivé votre choix de rejoindre ce club ?
Yzeure c’est un club amateur. Question motivation c’est l’envie de jouer et d’être sur les terrains à nouveau.
Est-ce qu’une saison aussi aboutie que celle-ci vous fait penser à un retour en équipe nationale ?
Volet équipe nationale je ne saurais me prononcer.
975